Lorsque le gode a vu le jour pour la première fois, il était considéré comme un outil médical destiné à guérir les femmes de l' hystérie. Heureusement, ce n'est plus le cas. Le diagnostic d'hystérie a été supprimé et il est aujourd'hui tout à fait normal d'avoir des sextoys dans sa table de chevet. 1 Français·e sur 3 a déjà essayé d'utiliser des sextoys et 3 sur 10 en possèdent un ou plusieurs.
Dans les années 1800, les médecins mettaient déjà en garde contre l'effet addictif des godes. Et nous comprenons bien pourquoi. Les Français·es qui possèdent des jouets ont tendance à être plus satisfait·es de leur vie sexuelle que ceux et celles qui n'en possèdent pas.
Si vous regardez à travers le pays, il est clair que les tables de chevet des Français·es - venant d'Auvergne-Rhône-Alpes, Grand Est et Hauts-de-France ont l'air bien plus remplies que celles de Bretagne et Bourgogne-Franche-Comté. Et si vous vous appelez Philippe ou Marie, alors il y a de fortes chances pour que l'on trouve des sextoys dans vos tiroirs.
Une chose est sûre en toutes circonstances : parmi tous les pays du Sindex, le vibromasseur arrive largement en tête de la liste des sextoys les plus utilisés.